Au bord de l'Erdre, de nombreuses "boires" (sortes de petits bras d'eau ) ou bien des zones humides, plus ou moins inondées, bordent la rivière.
C'est un milieu très riche auquel l'automne donne des couleurs...
Dans les Vosges, un étang, paisible...
...des reflets métalliques sur le Gesvres pris par la glace. (le "grain" de la photo est celui de la glace)
Et puis, à Montpellier, des reflets dans un immeuble de verre...
...et d'autres, captés dans une loge, lors d'une représentation des "Contes d'Hoffmann", à Massy., en janvier dernier.
Hornet a organisé un concours de photos de "reflets". link
Deux de mes photos (qui ne figurent pas dans cet article) y participent .Mais j'ai eu tellement de mal à en sélectionner deux , (moi qui aime tant photographier les reflets! ) que voici un petit échantillon des photos que j'aurais pu envoyer, mais qui sont restées dans les "cartons"...Une sorte de "salon des refulés" en quelque sorte!!!
Celle-ci est une de mes préférées (mais pourquoi diable ne l'ai-je pas envoyée ???)
Et voici le reflet -mouvementé- d'une tête d'oie dans l'eau! (C'est une photo naturelle, pas une fantaisie à l'ordinateur!)
Après deux semaines dans la banlieue parisienne, un coup d'ailes m'a emmenée sans transition à Montpellier pour une semaine...toujours pour y travailler!
Si J'ai placé ma visite à Paris sous le signe de la lumière, ce sont quelques images aquatiques que je veux vous montrer de Montpellier, même si la lumière y était nettement plus vive qu'à Paris!
Les fontaines ont presque failli geler cependant en cette seconde moitié de janvier : un matin, j'y ai cueilli quelques stalactites!
Si les trois grâces dansent dans la mousse devant l'opéra illuminé...
...les fontaines du quartier d'Antigone se la jouent "Grèce antique".
Poséidon, à la nuit tombée, essaie de réguler le flot capricieux de celle-ci, tandis que le soleil agace les masques impassibles de celles-là...
Il pleut ou plutôt il a plu, sur Nantes et la région, toutes les larmes de l'automne!
En deux jours, le vent a décoiffé les bouleaux, tondu le plaqueminier du quartier, et terni les couleurs....le Gesvres n'a pas réussi à avaler toute cette eau et s'est épanché sur le sentier, mais aussi sur le périphérique, coupant la circulation, histoire sans doute de montrer que la nature pouvait elle aussi faire grève et prendre sa part des perturbations sociales!