6 novembre 2014
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22:00
Après avoir escaladé la tige de l'iris sibirica desséché, on accède au refuge : un berceau sur pilotis, en quelque sorte ...
Me voilà condamnée à ne pas couper les tiges séchées avant le printemps ou à les couper (car il faut bien que les nouvelles tiges poussent) et en faire une botte plantée quelque part à l'abri : un hôtel pour l'hiver !